lundi 18 mai 2015

FailCon Chat : "L'échec entrepreneurial au féminin", jeudi 21 mai au Tarmac

Et si nous appréhendions l'échec sous l'angle de la réussite ? Tel est l'enjeu de la FailCon, conférence sur l'échec venue tout droit des États-Unis. Un FailChat est un condensé de FailCon, entièrement gratuit, sur une durée réduite, pour un public restreint. Rendez-vous le jeudi 21 mai au Tarmac pour un FailCon Chat... au féminin !

Au menu :
  • Des speakers 100% femmes ! 
  • Une question centrale : comment les femmes perçoivent l'échec ? Comment le gèrent-elles ? 
  • Des investisseurs, des start-upers
  • Un temps privilégié d'échange avec le panel d'intervenants 
  • Suivi d'un apéritif convivial 

3 speakers de talent : 

"Atterrissage forcé"

Claude Lemardeley, mariée 45 ans, diplômée de L’IMAG, est co-fondatrice de The Digital Company, un accélérateur de start-up de niveau 2. Jusqu’en 2006, elle est directrice d’agence de la SSII Open en charge de l’offre d’infogérance et Account Manager du compte HP Europe. Entrepreneuse dans l’âme, Claude Lemardeley débute en 2006 par co-fonder de sites de e-commerce appelés Acandi et Naturabebe. De 2008 à 2014, elle co-fonde et préside, dans le domaine de l’édition de logiciel, la société Motwin qui propose une plateforme de distribution en temps réel pour gérer l’omni-channel, notamment dans le domaine bancaire. En juin 2013, Claude Lemardeley est nommée conseillère au Commerce Extérieur Français. 

Janvier 2009, un an après la création de Motwin, la start-up commence un processus de levée de fonds. Néanmoins, du jour au lendemain, le premier client clé, nommé Air France, enterre le projet suite à un changement d’organisation. Sans présager un tel scénario, le cofondateur décide d’abandonner l’aventure. Quelles ressources ? Quel plan pour rebondir ? Comment gérer cette situation si soudainement apparue ? 

"Sherpa du CEO"

Nelly Kernevez, diplômée Ingénieur et Docteur-Ingénieur en énergétique Physique de l’Institut National Polytechnique de Grenoble (INPG-ENSPG), est Directrice Partenariat chez SOITEC, le leader mondial dans la fabrication de substrats semi-conducteurs avancés pour la microélectronique et l’énergie. Elle est en charge des Affaires Publiques et du financement des programmes stratégiques d’innovation. En qualité de ‘sherpa’ du CEO, elle est un membre actif des groupes de travail européens Key Enabling Technology & Electronics Leader Group, comme des comités Aeneas, Catrene ou Minalogic. 

Avant 2007, elle a été responsable de laboratoires au CEA, implémentant de nombreux transferts industriels ou dirigeant des collaborations scientifiques dans un environnement international (NASA, US Navy...). 



"Petit séisme en RP"

Virginie Debuisson a 41 ans. Elle a fondé une première entreprise dans le domaine des relations publics, Valeur D’image, en 2006 et lance actuellement la seconde, Pink In Black Media, cette fois dans l’édition numérique et le brand content, qui hybride conseil aux annonceurs et journalisme. Militante positive dans l’âme, Virginie a participé à la création du groupe « Entrepreneurs Positifs », qui rassemble plus de 3500 entrepreneurs qui s’engagent pour trouver des voies positives de changement et de disruption pour l’économie française. 

Elle s’investit également dans plusieurs initiatives au sein de France Digitale et de l’écosystème grenoblois pour valoriser les start-up du numérique auprès des élus et des médias, sujet qui l’enthousiasme. Son parcours est celui d’une curieuse et d’une aventurière : après avoir appris son métier en autodidacte chez Completel, opérateur télécom dédié aux professionnels dès 2000, Virginie travaille pour le Groupe Go Sport, où elle fonde le département des relations publiques des enseignes Go Sport et Courir. Passionnée par son métier, férue de rencontres et sensible à l’émergence des start-up, Virginie quitte le groupe pour fonder sa propre agence de relations publics. Valeur D’image accompagne rapidement des entreprises de taille importante, situées en France ou à l’international, et des collectivités dans leur promotion médiatique. 

En 2010, l'agence entame son virage numérique et se hisse en seconde position parmi les agences de RP françaises les plus actives sur les médias sociaux (classement Press Index – 2011).  Mais le contexte économique, la mutation des métiers de RP et de journaliste, la structure TPE de Valeur D’image ont provoqué un petit séisme et ont accéléré pour Virginie la création d’une autre activité, car l’entrepreneuriat est dans son ADN. Pourquoi l’issue a t’elle été fatale à l’agence ? Comment vit-on la fin d’une entreprise et surtout, pourquoi en créer une autre ? Autant de réponses et de réflexions que Virginie a à cœur de partager avec les participants au Failchat avec, bien sûr, sa touche féminine ;)

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