Premier article de presse dans le Dauphiné Libéré pour Mallaury Sperandio, jeune créatrice du Tarmac spécialisée dans l'aménagement d'espaces.
Texte de l'article
Elementesque : remettre le client au cœur de son projet !
Ingénieur du bâtiment, Mallory Sperandio a travaillé dans le génie civil comme conducteur de travaux pour Eiffage, puis comme ingénieur structure dans le béton armé et les charpentes métalliques : autant dire que la technique et la coordination de chantier multi-corps de métier n’a pas de secret pour elle ! Mais en 2012, sa créativité la titille et elle entreprend de se former à la décoration. C’est au sein de l’Adie qu’elle mature son projet de création d’entreprise. Envie d’entreprendre, expertise technique, sensibilité esthétique et sens du client : Elementesque était né !
« Mon objectif est d’accompagner mes clients à toutes les étapes de leur projet de rénovation, depuis la conception jusqu’à la livraison finale en passant par la sélection des artisans et le suivi de leur chantier, en leur évitant des erreurs de conception qui peuvent coûter très cher en phase de réalisation !», souligne Mallory Sperandio, qui se positionne à la croisée des chemins de la maîtrise d’œuvre et de l’architecture d’intérieure.
« Ce que je propose est un vrai parcours accompagné dans un esprit de co-création qui replace le client au cœur de son projet », poursuit-elle. Car elle finalise actuellement une plateforme web qui permet au client de suivre tranquillement de chez lui les avancées de son projet, de visualiser les aménagements en 3D et en se promenant à l’intérieur de son espace virtuel, et d’interagir avec le projet en postant ses suggestions. « Le plus souvent, les clients n’ont pas accès physiquement à leur chantier, seul le maître d’œuvre étant habilité à piloter les travaux et les entreprises. Ce journal de bord lui permet de pouvoir à tout moment et de n’importe où suivre l’évolution des travaux. Et en amont, l’outil lui permet de visualiser le projet. Il est toujours difficile de se représenter l’espace, ses dimensions, ou d’imaginer l’impact de nos choix décoratifs. Or la phase de conception est décisive dans tout projet de rénovation : le temps passé à optimiser le projet sur le papier fait gagner un temps précieux sur le chantier final. Plus on intègre les contraintes techniques et fonctionnelles en amont, plus on s’assure du respect des délais, des budgets et de la satisfaction du résultat», note Mallory.
Elle travaille actuellement sur un projet de transformation d’appenti en surface habitable, en intégrant cette double contrainte technique (c’est un aménagement en montagne nécessite des précautions en terme de maçonnerie) et fonctionnelle, puisqu’il s’agit de faciliter le triple usage de cette pièce supplémentaire en espace de travail pour la maman, de jeux pour ses enfants qui doivent s’occuper pendant qu’elle travaille, et de chambre d’ami. Un pari réussi grâce à une proposition originale qui associe une partie bureau pour la maman et une mezzanine en forme de cabane pour le couchage des amis et le jeu des enfants.
Et si sa rémunération porte sur un pourcentage des travaux, elle n’entraîne pas nécessairement de surcoût final pour le client « d’abord parce que je suis en capacité de négocier au plus juste le prix des artisans, mais surtout parce qu’en optimisant la conception initiale, on peut réellement réaliser de grosses économies », insiste Mallory Sperandio. Elle a d’ailleurs fait économiser plus de 6000 € à son client sur le chantier en cours en passant d’un projet de salle de bain classique à un projet de salle de bain sèche.
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Parce que la levée de fonds est à la fois un exercice incontournable pour la plupart des start-up et un véritable casse tête face à la multiplicité des acteurs et à la sélection drastique des investisseurs, inovallée organise un atelier pour faire le point sur la question, le mardi 11 mars prochain de 12h à 15h.
Au programme :
Partie I (12h-12h30) : banque et BPI, partenaires de la levée de fonds
• Olivier Rollin (Banque Populaire des alpes) : le rôle des banques dans la levée des fonds, les critères et les attentes, les montages, etc
• Isabelle Buys (BPI) : le rôle de la BPI, les leviers possibles, les relations avec les autres partenaires du financement …
Partie II (12h30-13h30) : table ronde : « investisseurs mode d’emploi »
Thèmes abordés : panorama des acteurs, fonctionnement et attentes de chacun, procédures et critères de sélection, etc (3 ou 4 questions seront posées par l’animateur et seront envoyées aux intervenants en amont l’objectif étant que chacun puisse donner son propre éclairage sur la question posée)
• Philippe Rase (Grenoble Angels)
• Hamid Sbai (Celertis Finance, stratégie financière)
• Emmanuel Arnould (Innovafonds)
• Mathieu Genty (Le Phare)
• Maelle Henry (Venture 4i)
Partie III (13h30-14h) : témoignages d’entreprises
• Benjamin Ducousso (Wizbii) : success story
• Antoine Kevorkian (Teem Photonics) : quid après le mariage ?
• Jean-Jacques Hirsch (EDT) : avantages et limites du boostrapping
Partie IV (14h-15h) : échanges et débats entre les participants - questions / réponses
Le monde bouge, le rythme s'accélère, les marchés se décalent, la concurrence s'accroit, pour l'univers du digital encore plus vite que pour les autres. Dans un contexte complexe et mouvant où l'incertitude est la règle et l'adaptation permanente une nécessité pour garantir la survie de l'entreprise, le lean-start-up est une alternative, pour ne pas dire la seule alternative, pour guider les créateurs dans le brouillard de la navigation à vue !
Mais qu'est-ce que le lean-start-up ?
Pourquoi et comment le lean ?
Quels outils pour le dirigeant en mode lean ?
Le Tarmac organise le jeudi 27 février prochain un atelier de partage d'expérience animé par Mathieu Genty, l'emblématique leader de la "communauté de ceux qui font" au sein de Grenoble cowork.
L'occasion de découvrir et/ou approfondir la boite à outils du lean management et d'échanger entre start-upers sur les problématiques de gestion des incertitudes.
Inscription gratuite obligatoire : accueil@inovallee.com
L'impression 3D a le vent en poupe. Pour autant, savoir ce qu'on peut imprimer, comment et à quel prix, pour quels usages, avec quel type de machines et en préparant quels types de fichiers, sont autant de questions qui restent sans réponse pour le plus grand nombre. Pour désacraliser l'impression 3D et faire découvrir aux créateurs du Tarmac le champ des possibles qu'ouvre aujourd'hui l'impression 3D dans l'univers professionnel du prototypage rapide comme sur le marché du particulier, Steeve Becker, fondateur de 3d Printer Avenue, animait hier soir l'apéro hebdomadaire de la pépinière et accueillait les start-upers dans son tout nouveau show room !
L'occasion de faire une démonstration plus que parlante des nombreuses potentialités de la machine : on peut presque tout imprimer aujourd'hui :
- De nombreux petits objets de manière très accessible avec des bobines de fil plastique (il faut
compter 1700€ pour une imprimante et 30€ pour une bobine de fil) : boitiers techniques, télécommandes, gobelets, abats-jour, montures de lunettes, coques d'iphone, bijoux et boites à bijoux, mais aussi modelage de la dentition, maquette ou figurine, pièces mécaniques simples ou assemblées ...
- des pièces mécaniques en métal sur des imprimantes plus coûteuses mais qui à terme, risquent de révolutionner le monde de l'industrie
- du chocolat ou des gâteaux
- des cellules vivantes : des premiers essais d'impression de tissu de la peau ont été concluants
- et même ... sa maison grandeur nature en béton !
En savoir plus sur 3D Printer
http://issuu.com/clairechanterelle/docs/2014-02-10_dl_appliware
Texte de l'article
:
Démarrage en flèche pour Appliware au Tarmac !
Installée depuis le 6 janvier sur les pistes de la pépinière Tarmac, Appliware décolle en force avec un très beau résultat 2013, couplé à de beaux projets de développement à l’international sur 2014.
La start-up conçoit et développe des solutions logicielles de mobilisation de personnel d’urgence. Le principe est simple : les demandes (appels malades dans les hôpitaux et maisons de retraite, alarmes techniques dans les bâtiments industriels, détection de chute ou appel d’urgence sur un appareil de Protection de Travailleur Isolé, etc…) sont centralisées sur un serveur et traitées par le logiciel Mercury, qui envoie les informations pertinentes (nature et localisation de l’appel, etc), de manière intelligente au groupe d’intervenants potentiel adéquat (en fonction de la proximité géographique, du planning des astreintes, etc), et ce sur leur smartphone. Dès que l’un d’eux prend en charge l’intervention directement sur son mobile, les autres intervenants sont prévenus qu’ils n’ont pas à se déplacer, et la durée de l’intervention est suivie en temps réel pour s’assurer de la prise en charge du malade ou du problème.
Intégrées directement par Ascom, son partenaire et distributeur exclusif sur le marché français, les solutions d’Appliware équipent déjà plus de ? sites en France, avec 300 licences vendues entre 2012 et 2013, qui fonctionnent aussi bien sur les téléphones propriétaires d’Ascom que sur les smartphones standards sous Android.
« Le brancardage est un marché en plein expansion pour Appliware. Nous avons équipé 2 gros hôpitaux parisiens (plus de 1000 lits), qui avaient besoin d’améliorer la qualité du service et de garantir à leurs patients une prise en charge en 1/4h, et nous venons de signer une nouvelle commande pour début 2014 », se réjouit Rodolphe Latta, fondateur de la start-up. Une start-up qui affiche un chiffre d’affaires plus qu’enviable de 230 K€ pour 2013 et entame une nouvelle étape de sa croissance avec une ouverture vers l’international.
« Nous sommes en négociations pour plusieurs contrats en Hollande et au Luxembourg, et explorons des opportunités en Espagne, en Italie et au Portugal », poursuit-il. Et qui dit croissance dit … recrutement ! L’équipe actuelle d’Appliware est en recherche active d’un développeur en html5 : à bon entendeur !
Vous
souhaitez pouvoir disposer d’un bureau à la carte dans un espace
professionnel de qualité où vous pourrez nourrir votre réseau et
intégrer une dynamique entrepreneuriale ?
inovallée
ouvre un tout nouvel espace de coworking au sein de son "aéropôle
entrepreneurial", qui abrite la structure d'animation de la technopole,
la pépinière Tarmac et la MIE-MIFE.
70
m² aménagés dans un esprit "workfriendly" alliant esthétique et
ergonomie, et ce grâce au partenariat de la Banque Populaire des Alpes,
pour offrir un cadre de travail et de rencontres aux consultants,
indépendants, porteurs de projets, auto-entrepreneurs, salariés, et
dirigeants.
Deux formules au choix avec une grande souplesse (possibilité de passer librement d'une formule à l'autre) :
- abonnement mensuel : 90€ HT à mi-temps / 140€ HT en illimité (payable d'avance par chèque ou espèce
- à la carte : 8€ la demi-journée / 60€ le carnet de 10 demi-journées (paiement immédiat par chèque ou espèces)
Inclus dans la formule :
- 17 bureaux en openspace 100% plug&play
- accès internet wifi
- pour les résidents temps plein : un caisson avec clé pour stocker vos documents
- accès libre à deux salles de RDV (sous réserve de disponibilité)
- accès
libre aux espaces communs : salon d'accueil avec machines à café et à
eau, cafétéria avec vaisselle, micro-ondes et réfrigérateurs
- accès
libre et gratuit à tous les événements du réseau inovallée : petits
déjeuners, conférences, apéro hebdomadaire, portes ouvertes, ateliers et
workshops, événements festifs ... etc
Services à la carte
- 4 salles de réunion de 5 à 40 personnes
- des services mutualisés : domiciliation,
reprographie, location de matériel, secrétariat, formations, stockage d'archives, etc)
inovallée inaugurait le 3 février dernier ses nouveaux locaux au 29 chemin du Vieux Chêne, où elle emménageait le 6 janvier aux côtés des start-up du Tarmac qu’elle accompagne. Si le bâtiment est en cours de réhabilitation par la SPLA, qui échelonne les travaux en fonction de ses budgets pour redonner au bâtiment tout son éclat, les plantes du hall d’accueil n’avaient connu aucun soin depuis plusieurs années et il fallait absolument y remédier. Pas question en effet pour Annie Soufi, Directrice d’inovallée, de renoncer à l’image de la technopole qu’elle se bat jour après jour pour défendre et faire valoir. Faute de moyens, il faut des idées. Et des idées, l’équipe d’inovallée n’en manque pas. Laurence Bellicard, la dernière recrue de l’équipe, a donc contacté le lycée horticole de Saint Ismier fin décembre pour proposer aux enseignants de faire de ce lieu un véritable projet pédagogique. L’idée a suscité immédiatement l’enthousiasme de deux enseignants, qui ont a rapidement leurs élèves au travail pour vider les bacs, et surtout agiter toute la créativité collective dont ils sont capables pour concevoir un espace aussi harmonieux qu’insolite. « Force est de constater qu’ils ont remarquablement su s’adapter à notre environnement et la culture d’inovallée. Et le résultat dépasse toutes nos espérances », souligne Laurence Bellicard, chargée de mission à inovallée. Matière grise et plantes vertes y ont au final trouvé un merveilleux terrain d’entente puisque c’est au milieu des écrans, des souris et des CD que fleurissent plantes grasses et plantes grimpantes.
Et la technologie n’y est pas seulement évoquée. Elle est physiquement présente au cœur même de la composition puisque Claire Chanterelle, responsable de la pépinière, a profité de l’aventure pour permettre à Etienne Henri, fondateur de la start-up Avolla, de déployer grandeur nature ses solutions d’automatisation. « Un réseau de capteurs a donc été installé au cœur de la plantation et notre boitier groWatch a été installé pour piloter l'éclairage, surveiller la température et l'humidité des plantes, et même piloter l’arrosage au goutte à goutte en fonction des besoins», note Etienne Henri, inventeur de la solution. Et cerise sur le gâteau, l’ensemble de l’installation peut être pilotée à partir d’un simple smartphone via l’application groWatch, ou à partir de n’importe quel navigateur web, pour changer à tout moment les plages horaires d’éclairage ou le réglage du goutte à goutte selon les saisons. Il s’agit d’un véritable jardinier électronique qui veillera sur les plantes au quotidien.
« Matière grise pour zone verte », le premier slogan de la technopole est donc plus que jamais d’actualité et s’incarne désormais dans la végétalisation intelligente du bâtiment de l’association et de la pépinière !
"Go to Market", tel est le positionnement phare du Tarmac, qui entend bien conduire au mieux ses pilotes sur la piste du décollage commercial ! Plus facile à dire qu'à faire ... Après des mois passés à élaborer son business plan à imaginer ses marchés, à segmenter son offre à peaufiner ses outils ... il est temps de sortir la tête du moteur et de ... voler vers ses premiers clients !
Premier vol d'essai transformé pour 3D Printer Avenue qui a vendu deux imprimantes 3D et réalisé 6 formations depuis début janvier ! Il faut dire que le coût de la machine (1700 € HT), comme de la matière première (35 € le kg), rend l'impression 3D tout à fait accessible. Les principaux marchés visés : les écoles d'enseignement supérieur, les bureaux d'études (pour leurs prototypes), et ... les dentistes ! Eh oui, car travailler sur un clone imprimé en 3D de la dentition d'un patient permet de nombreuses avancées en matière d'optimisation des implants ... Surtout, le récent rachat par un grand groupe de la start-up Espagnole qui lui fournissait ses machines permet à 3D Printer Avenue de passer du stade "artisanal" au stade professionnel, avec des capacités de production (et donc de livraison du client final ...) qui ont été multiplié par 20 !
De la formation sur l'utilisation des imprimantes 3D, ou la sélection du bon procédé d'impression 3D, à la maintenance en passant par la vente de machines ou la sous-traitance, 3D Printer Avenue se positionne résolument comme LE référent de proximité en matière d'impression 3D professionnelle. Et pour ceux qui ne seraient pas convaincus, RDV le 27 février prochain pour découvrir la richesse et les perspectives inattendues de l'impression 3D. La start-up inaugure en effet ses tous nouveaux locaux au Tarmac (29 chemin du Vieux Chêne)
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