Les vacances approchent et pour le dernier "Think drink" de la saison avant la pause estivale, les créateurs du Tarmac étaient réunis le 17 juillet dernier pour un apéro résolument sous le signe de la détente. Pas d'intervention d'expert à la clé, ni de pitch au programme, mais une initiation tir à l'arc assurée par Ludovic Léau Mercier (Coriolys), un duel au pistolet à plomb, et une course automobile virtuelle sur triple écran en 3D mise en place par Ropdolphe Latta (Appliware) ! Reprise des hostilités la deuxième quinzaine d'août. En attendant, bonnes vacances à tous ...
vendredi 18 juillet 2014
Le député Olivier Veran à la rencontre des entrepreneurs du Tarmac
Le 10 juillet dernier, les créateurs du Tarmac recevaient le député Olivier Veran lors de leur "Think drink" hebdomadaire. Un tour de table a permis à Olivier Veran de découvrir la richesse des activités numériques de la pépinière, mais aussi de faire remonter les problématiques rencontrées par les start-up, notamment en matière de financement amorçage et de recrutement. Un beau moment d'échanges et peut-être, à la clé, des solutions concrètes pour certains entrepreneurs !
mardi 15 juillet 2014
Watsize à l'honneur de BFM Business pour la rubrique "Hello start-up" !
Ce vendredi 11 juillet, Julien Dussauge, co-fondateur Watsize, était l’invité de la rubrique Hello Startup dans Good Morning Business, avec Stéphane Soumier, sur BFM Business.
Retrouvez la vidéo de l'interview en cliquant ... là !
Retrouvez la vidéo de l'interview en cliquant ... là !
3 D Printer Avenue sur Télé Grenoble ... et Daily Motion !
Steeve Becker était présent à la CCI de Grenoble le 12 juin dernier pour la journée de l'innovation, où il co-animait un atelier sur l'impression 3D. Et le voici sur Télé Grenoble dans un beau reportage !
CAP INFO - 08 Juillet 2014 par telegrenoble
CAP INFO - 08 Juillet 2014 par telegrenoble
mardi 8 juillet 2014
CIR / CII : un atelier pour aider les créateurs du Tarmac à mieux naviguer dans le sméandres administraifs des crédits d'impôt !
Le 7 juillet dernier, ils étaient une vingtaine de chefs d'entreprises d'inovallée et du Tarmac à écouter la bonne parole et décrypter les subtilités du Crédit Impôt Recherche et du Crédit Impôt Innovation, deux outils précieux au service de la R&D, mais pour le moins complexe d'un point de vue administratif pour qui n'est pas initié.
Au programme :
Au programme :
- Un rapide mais efficace balayage des conditions d'éligibilité au CIR et au CII, en terme d'entreprises mais aussi de tâches et de dépenses, par Marc Ehrsam, fondateur du cabinet IPS Conseil spécialisé dans l'accompagnement au financement public des projets (CIR, mais aussi FUI, Feder, etc), qui met bénévolement et régulièrement son expertise au service du Tarmac.
- Un zoom sur le CIR et le CII dans le secteur du logiciel, où il est souvent plus difficile de faire la part de R&D pure (donc éligible) sur la part d'ingénierie (non éligible), par Laurent Testard, fondateur de la société Halias Technologies, qui édite des logiciels scientifiques et fait régulièrement appel au CIR.
- Un point comptable et fiscale sur les alternatives qui s'offrent sur le bilan en matière de R&D et de contrats de licence, grâce à l'expertise de KPMG, représenté par Sandrine Palud, qui elle aussi donne régulièrement de son temps aux créateurs du Tarmac pour les accompagner sur les finesses de la gestion d'une entreprise, a fortiri quand elle est innovante
- et quelques cas concrets pour tester la bonne compréhension des dispositifs et échanger sur les tâches réellement éligibles ou non, mais aussi sur les modalités d'accès à ces crédits d'impôts.
vendredi 4 juillet 2014
Du moyen-âge à l'ingénierie logicielle, Coriolys a plus d'une corde à son arc !
On connaissait Coriolys au Tarmac pour ses prestations d'ingénierie logicielle destinées aux acteurs de la Recherche. Et voilà qu'on retrouvait le week-end dernier un Ludovic Léau-Mercier en costume du moyen-âge, l'arc à la main, pour deux journées d'animations médiévales dans sa commune de Theys ! Comme quoi, du moyen âge aux dernières technologies, il n'y a qu'un pas (de cheval) pour qui a plus d'une corde à son arc ...
Et parce que le Tarmac, c'est bien plus qu'un lieu de travail ou un accélérateur de start-up, mais presque une seconde famille, ils étaient plusieurs à retrousser leurs manches pour se plier à l'exercice, dont Claire Chanterelle, responsable de la pépinière, Mallory Sperandio (Elementesque) et Steeve Becker (3D Printer Avenue).
Et parce que le Tarmac, c'est bien plus qu'un lieu de travail ou un accélérateur de start-up, mais presque une seconde famille, ils étaient plusieurs à retrousser leurs manches pour se plier à l'exercice, dont Claire Chanterelle, responsable de la pépinière, Mallory Sperandio (Elementesque) et Steeve Becker (3D Printer Avenue).
La solution de brancardage Ascom développpée par Appliware à l'hôpital de Mantes la Jolie
Appliware, éditeur logiciel spécialisé dans les solutions mobiles de mobilisation de personnel d'urgence, a développé pour son partenaire d’Ascom une nouvelle solution smartphone et DECT pour permettre aux établissements hospitaliers d'optimiser la gestion de leurs lits, les appels malades, les alertes en cas de chute, leurs alarmes techniques, ou encore ... le brancardage. Grâce à cette solution, le centre hospitalier de Mantes la Jolie a pu faire entrer le brancardage dans l'ère du tout connecté, et mettre en place un système de workflow et de traçabilité à la pointe de la technologie."Nous effectuons chaque jour aux alentours de 120 transports entre les services (imagerie, bloc opératoire, consultations, chambres ...); il est crucial pour le bon fonctionnement de l'hôpital que ce flux soit le plus fluide possible avec une tolérance zéro pour d'éventuelles erreurs de routage", note Carine Khalid, responsable logistique au CH de Mantes la Jolie. C'est pourquoi il a été décidé de moderniser le système de brancardage (dont le routage était quasiment manuel), en s'appuyant sur les téléphones Ascom qui s'interfacent avec le réseau interne existant, et les solutions logicielles d'Appliware pour automatiser la gestion du flux. Lorsqu'un besoin de brancardage arrive, un message est envoyé aux brancardiers disponibles les plus proches, avec toutes les infos nécessaires sur le malade concerné. Celui qui prend en charge le patient renseigne alors l'outil de suivi depuis son téléphone, qui centralise les données au régulateur. En savoir plus
Tenevia et Ct2MC présentent l'avenir des solutions de mesure dans le domaine de l'eau
Créée en février 2012, la jeune entreprise innovante CT2MC compte aujourd’hui cinq personnes à
son actif. Elle est spécialisée dans l’ingénierie en matériaux composites et en électroniques.
Mobilisant elle aussi une équipe de cinq personnes, la société TENEVIA a été créée en juin 2012 et a rejoint le Tarmac début 2014.
Cette jeune entreprise universitaire, issue du CNRS et de l’Université de Savoie, propose des
solutions logicielles originales en mesure environnementale par analyse d’images ainsi que pour
l’étude et la prévision des ressources en eau.
Lauréates du Réseau Entreprendre Savoie, et soutenues par le technopôle de Savoie-Technolac, les sociétés CT2MC et TENEVIA se sont associés, le temps d’un après-midi, afin de présenter leurs innovations dans le domaine de la mesure et l’aide à la surveillance de l’eau. Cet évènement a permis de présenter les solutions « SPYBOAT » (drones aquatiques) et « RiverBoard » (logiciel de traitement d’images pour la mesure et d’aide à la surveillance des cours d’eau). Regroupant plus d’une trentaine de participants, les équipes de TENEVIA et CT2MC, mobilisée pour l’occasion, ont pu présenter aux invités le matériel mis en œuvre ainsi que les différentes fonctionnalités des deux solutions. Enfin, une visite de terrain est venue clore cette demi-journée riche d’informations et d’innovation.
La solution TENEVIA RiverBoard repose sur un logiciel de traitement et d’analyse d’images performant capable de fournir, sans capteur installé dans le cours d’eau, une hauteur d’eau et un débit. Nécessitant l’installation d’un dispositif de prise d’images (i.e. caméra) à proximité du cours d’eau, cette solution constitue également un véritable outil d’aide à la prise de décision en particulier lors d’évènements extrêmes comme les crues ou les étiages. La gamme de drones aquatiques plurifonctionnels SPYBOAT permet différentes opérations en milieux aquatiques. Les différentes applications sont le prélèvement et la filtration de l’eau, la récupération de végétaux, le prélèvement de sédiments, l’inspection d’ouvrages, l’inspection d’étendues d’eau de surface et sous-marine (hydrologie et bathymétrie) ainsi que l’inspection des zones radioactives ou potentiellement dangereuses. Pilotée grâce à une tablette tactile dotée d’un logiciel intuitif, la gamme SPYBOAT se décline en trois modèles adaptées pour la mer (octopus), les lacs et les rivières (swan) ainsi que les sites difficiles d’accès (duck).
En savoir plus et voir les photos en téléchargeant le communiqué de presse
Lauréates du Réseau Entreprendre Savoie, et soutenues par le technopôle de Savoie-Technolac, les sociétés CT2MC et TENEVIA se sont associés, le temps d’un après-midi, afin de présenter leurs innovations dans le domaine de la mesure et l’aide à la surveillance de l’eau. Cet évènement a permis de présenter les solutions « SPYBOAT » (drones aquatiques) et « RiverBoard » (logiciel de traitement d’images pour la mesure et d’aide à la surveillance des cours d’eau). Regroupant plus d’une trentaine de participants, les équipes de TENEVIA et CT2MC, mobilisée pour l’occasion, ont pu présenter aux invités le matériel mis en œuvre ainsi que les différentes fonctionnalités des deux solutions. Enfin, une visite de terrain est venue clore cette demi-journée riche d’informations et d’innovation.
La solution TENEVIA RiverBoard repose sur un logiciel de traitement et d’analyse d’images performant capable de fournir, sans capteur installé dans le cours d’eau, une hauteur d’eau et un débit. Nécessitant l’installation d’un dispositif de prise d’images (i.e. caméra) à proximité du cours d’eau, cette solution constitue également un véritable outil d’aide à la prise de décision en particulier lors d’évènements extrêmes comme les crues ou les étiages. La gamme de drones aquatiques plurifonctionnels SPYBOAT permet différentes opérations en milieux aquatiques. Les différentes applications sont le prélèvement et la filtration de l’eau, la récupération de végétaux, le prélèvement de sédiments, l’inspection d’ouvrages, l’inspection d’étendues d’eau de surface et sous-marine (hydrologie et bathymétrie) ainsi que l’inspection des zones radioactives ou potentiellement dangereuses. Pilotée grâce à une tablette tactile dotée d’un logiciel intuitif, la gamme SPYBOAT se décline en trois modèles adaptées pour la mer (octopus), les lacs et les rivières (swan) ainsi que les sites difficiles d’accès (duck).
En savoir plus et voir les photos en téléchargeant le communiqué de presse
Think drink : la géolocalisation by Abeeway, la JEI et les cadres en temps partagé !
Le 3 juillet dernier, les créateurs du Tarmac étaient réunis à la "cafet" pour un "think drink" hebdomadaire sous le signe de la géolocalisation, du statut Jeune Entreprise Innovante et des compétences en temps partagé.
C'est Laurent Cohn qui a lancé les hostilités avec les conditions d'éligibilité du statut JEI (PME - 250 salariés et CA < 50M€, indépendante, créée depuis moins de 8 ans, réellement nouvelle, avec un volume de R&D, au sens des critères CIR, représentant au moins 15% des charges de l'entreprise), mais aussi les exonérations sociales (partie patronale de la sécurité sociale à hauteur de 22 points sur les salariés dont l'activité principale est consacrée à la R&D éligible, plafonnée à 4,5 fois le SMIC et 187 000 € par établissement), et les exonérations fiscales (exonération à 100% de l'IS sur la 1ère année, 50% sur l'année suivante, exonération pendant 7 ans de la cotisation foncière des entreprises). En savoir plus sur le statut JEI.
Puis ce fut au tour de Florian Sforza de présenter la technologie Abeeway de géolocalisation longue distance sans recharge, d'ores et déjà intégrée dans une première balise maison fonctionnelle, qui pourra être intégrée dans divers accessoires (porte clé, collier de chien, cadre de vélo ...), pour retrouver facilement ses enfants dans un parc d'attraction, son chien sur la plage, et même grâce à l'accéléromètre, savoir en temps réel si son vélo a bougé en cas de vol ! En attendant la mise en service du réseau Internet des Objets en France et dans le monde, qui lui ouvrira de nouvelles opportunités, Abeeway vise dès aujourd'hui le marché des parcs d'attraction et des stations de ski pour sa balise, et propose sa technologie révolutionnaire de géolocalisation à différents partenaires qui souhaitent faire du tracking d'objets ou autres et pourraient l'intégrer sur leurs propres produits.
Enfin, les cadres de l'association CTP 38 sont venus proposer les compétences en temps partagé de leur réseau.
C'est Laurent Cohn qui a lancé les hostilités avec les conditions d'éligibilité du statut JEI (PME - 250 salariés et CA < 50M€, indépendante, créée depuis moins de 8 ans, réellement nouvelle, avec un volume de R&D, au sens des critères CIR, représentant au moins 15% des charges de l'entreprise), mais aussi les exonérations sociales (partie patronale de la sécurité sociale à hauteur de 22 points sur les salariés dont l'activité principale est consacrée à la R&D éligible, plafonnée à 4,5 fois le SMIC et 187 000 € par établissement), et les exonérations fiscales (exonération à 100% de l'IS sur la 1ère année, 50% sur l'année suivante, exonération pendant 7 ans de la cotisation foncière des entreprises). En savoir plus sur le statut JEI.
Puis ce fut au tour de Florian Sforza de présenter la technologie Abeeway de géolocalisation longue distance sans recharge, d'ores et déjà intégrée dans une première balise maison fonctionnelle, qui pourra être intégrée dans divers accessoires (porte clé, collier de chien, cadre de vélo ...), pour retrouver facilement ses enfants dans un parc d'attraction, son chien sur la plage, et même grâce à l'accéléromètre, savoir en temps réel si son vélo a bougé en cas de vol ! En attendant la mise en service du réseau Internet des Objets en France et dans le monde, qui lui ouvrira de nouvelles opportunités, Abeeway vise dès aujourd'hui le marché des parcs d'attraction et des stations de ski pour sa balise, et propose sa technologie révolutionnaire de géolocalisation à différents partenaires qui souhaitent faire du tracking d'objets ou autres et pourraient l'intégrer sur leurs propres produits.
Enfin, les cadres de l'association CTP 38 sont venus proposer les compétences en temps partagé de leur réseau.
La première version de la balise ... imprimée par 3D Printer Avenue !
Pourquoi Kate et William auraient dû faire rénover leur palais par Elementesque ?
"Depuis que le prince William a quitté ses fonctions au sein de l’armée
britannique, il était question que le Duc et la Duchesse de Cambridge,
et leur royal enfant, emménagent dans une aile du palais de Kensington,
autrefois résidence de la princesse Diana. « L’appartement 1A » comptera
ainsi vingt-deux pièces, dont deux nurseries (une de jour, une de
nuit), trois cuisines, trois chambres – chacune avec dressing et salle
de bains of course, cinq salles de réception et une panic room..
Oui, mais voilà : si les travaux
ont été engagés en 2012, initialement pour un montant de 1,5 millions
de livres sterling et une fin de travaux en août 2013, tout ne
s’est pas passé exactement comme prévu. Aujourd’hui, la monarchie se
retrouve embarrassée par un scandale qui froisse les sujets britanniques
: le coût exorbitant des travaux, qui s’élève pour le moment à 4
millions de livres sterling (près de 5 millions d’euros) ne semble
aujourd’hui plus connaître de limite.
Nous avons cherché à savoir pourquoi le couple royal subit de tels débordements.
Un planning maîtrisé?
L’histoire semble malheureusement assez classique :
29 avril 2011 : Mariage de Kate et Williammi-2012 : Début des travaux de rénovation
22 juillet 2013 : Naissance du petit George
Décembre 2013 : Fin théorique des travaux
Juin 2014 : travaux encore en cours – date de fin inconnue
On constate que le chantier a à ce jour plus de six mois de retard, ce qui est énorme une fois ramené au délai initial de 18 mois.
Le plus grave, c’est qu’on ne connaît pas encore le temps encore
nécessaire pour terminer les travaux. Accroche-toi Kate, c’est pas fini!
Un budget maîtrisé?
La monarchie britannique est connue pour
ses fastes et ses débordements. Pourtant, en ces temps de crise, la
famille royale tentait jusqu’ici d’envoyer des signaux à ses sujets pour
montrer ses efforts en terme d’économie. La duchesse Kate est dans ce
domaine une élève particulièrement douée lorsqu’il s’agit de recycler
ses tenues portées lors des cérémonies officielles, ou d’habiller son
fils. Hélas, il semblerait que les Windsor ne soient pas aussi vigilants
lorsqu’ils s’agit de rénover leurs nombreux biens immobiliers.
Certes, pour rénover un palais, il faut
s’entourer d’excellents artisans et utiliser des matériaux précieux.
C’est le cas ici : Kensington fait partie de ces monuments classés qu’il
faut soigner et préserver, et il est normal d’atteindre des montants de
travaux supérieurs au million de livres sterling.
Le problème est ailleurs : le chiffrage initial des travaux atteignait un montant d’environ 1,5 million de livres (environ 1,9 million d’euros). A l’heure actuelle, alors que les travaux ne sont pas encore terminés, ce montant a presque triplé
pour atteindre la somme de 4 millions de livres (5 millions d’euros).
Ce budget illimité est la source du scandale actuel car ce projet passe
pour un gouffre financier.
Le diagnostic amiante aurait permis à Kate de savoir que la vieille maison de Mamie Babette n’était pas une si bonne affaire!
Le diagnostic amiante aurait permis à Kate de savoir que la vieille maison de Mamie Babette n’était pas une si bonne affaire!
Ben alors Kate, tu n’as pas fais faire ton diagnostic amiante-plomb avant d’acheter? Pourtant c’est obligatoire!
Et pourtant, rien n’explique les
débordements qui vont advenir : pendant la première année des travaux, 1
million de livres ont été dépensés :
- 400 000 £ pour la réfection complète du toit (c’est une toiture ancienne, et immense)
- 600 000 £ pour la remise à neuf de l’intérieur
On pourrait alors se dire, que les
travaux sont quasiment terminés… que nenni! C’est alors que viennent
s’ajouter, sur la seconde année, plus de 2,5 M£, pour d’autres travaux :
remise à neuf de la plomberie et de l’électricité, et désamiantage.
Il semblerait donc que ces travaux de
grande ampleur n’aient pas été estimés de façon juste, voire n’aient pas
du tout été pris en compte lors de la conception du projet, avant de
lancer les travaux…c’est ce qu’on appelle la roulette russe!
Évidemment, il n’est en effet pas normal de tripler un budget de rénovation
même pour un bâtiment de ce type, simplement en justifiant cela par des
travaux de désamiantage, qui peuvent être identifiés, quantifiés et
chiffrés dès la phase de conception et de chiffrage du projet.
Actuellement, le budget de 4 millions de livres sterling comprend a priori
seulement les travaux de charpente, désamiantage, électricité,
plomberie… il faut encore ajouter toutes les finitions (peintures,
ornements, dorures, rénovation des sols, etc…) : le budget risque donc
d’exploser encore davantage car sur des rénovations luxueuses ce sont
bien les finitions qui coûtent le plus cher!
Tout est bien qui finit bien : ça dépend pour qui
Vous qui vous inquiétez pour la petite
famille de Cambridge, soyez rassurés. Non seulement la famille est
confortablement logés dans une partie habitable de Kensington, mais
contrairement à vous, qui faites rénover votre maison, ils n’auront pas
de problème financiers pour terminer le chantier : ce sont les
contribuables britanniques qui paieront le surcoût des travaux!
God bless the queen!
Vous qui n’êtes pas Prince ou Duchesse
On se rend compte que même les grands de ce monde peuvent connaître des déboires lorsqu’ils souhaitent faire rénover leur bien immobilier et qu’ils ne sont pas accompagnés de la manière la plus judicieuse.
Néanmoins, même si vous n’avez pas le
budget extensible de la famille royale britannique et que vous ne pouvez
pas loger chez Mamie en attendant la fin de vos travaux, ne renoncez
pas! Chez Elementesque, non seulement nous réalisons des projets où nous
pouvons vous garantir le délai et le coût (car nous savons anticiper
les grosses tuiles) mais en plus, nous ne vous embarquons pas dans un
projet interminable et coûteux : nous savons vous dire rapidement ce qui
est possible de faire avec les moyens dont vous disposez.
En réalité, nous n’aurions pas pu accompagner cette famille, car nous traitons des projets entre 20 et 500 k€…désolé Kate, mais on peut s’occuper de ton pool house si tu veux!"
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