Encore un beau vol d'essai pour le Tarmac puisque 2 nouvelles start-up prometteuses viennent de rejoindre la pépinière inovallienne. Après avoir franchi avec succès la centrifugeuse impitoyable (mais non, la preuve : - ) du comité de sélection, Véronique Pollet, Thierry Cravoisier et Bruno Zoppis rejoindront début avril les 23 autres start-up actuellement en piste, avec 3 nouveaux emplois immédiats, mais une cinquantaine de recrutements potentiels dans les 3 ans à venir !
Véronique s'appuie sur une technologie danoise brevetée pour concevoir, développer et commercialiser une nouvelle génération de scanners de vessie à destination du monde hospitalier, pour faciliter le suivi et la rééducation vésicale des patients en limitant les temps de sonde et donc les infections nosocomiales. Un marché prometteur donc pour une nouvelle génération de scanners connectés, portatifs et sans fil. Une première levée de fonds en amorçage est en cours de négociation et devrait permettre à la future start-up de réaliser son premier chiffre d'affaires sous 18 mois.
Quant à Rocamroll, c'est un projet incubé à Gate 1 (la création de l'entreprise est prévue pour l'automne), basé sur la valorisation d'une technologie Inria, dont l'ambition est de réaliser automatiquement et en temps réel le montage et la diffusion d'un événement et de capturer les prises de vues avec des robots caméramen autonomes, chacun capable de suivre les mouvements du ou des speakers, de mélanger le tout avec le contenu issu du PC (slides, vidéo). Rocamroll vise aussi bien les marchés de l'événementiel (professionnel dans un premier temps, mais pourquoi pas personnel à terme), et de la formation (et notamment les grandes écoles). Les caméras robotisées sont transportables, sans fil, simples d'utilisation, flexibles (elles acceptent tout type de sources vidéos), et se configurent à partir d'un simple smartphone. Autant de facteurs différenciants qui devraient faire le succès de Rocamroll en allégeant considérablement le budget et la charge de travail de ses clients !
Véronique s'appuie sur une technologie danoise brevetée pour concevoir, développer et commercialiser une nouvelle génération de scanners de vessie à destination du monde hospitalier, pour faciliter le suivi et la rééducation vésicale des patients en limitant les temps de sonde et donc les infections nosocomiales. Un marché prometteur donc pour une nouvelle génération de scanners connectés, portatifs et sans fil. Une première levée de fonds en amorçage est en cours de négociation et devrait permettre à la future start-up de réaliser son premier chiffre d'affaires sous 18 mois.
Quant à Rocamroll, c'est un projet incubé à Gate 1 (la création de l'entreprise est prévue pour l'automne), basé sur la valorisation d'une technologie Inria, dont l'ambition est de réaliser automatiquement et en temps réel le montage et la diffusion d'un événement et de capturer les prises de vues avec des robots caméramen autonomes, chacun capable de suivre les mouvements du ou des speakers, de mélanger le tout avec le contenu issu du PC (slides, vidéo). Rocamroll vise aussi bien les marchés de l'événementiel (professionnel dans un premier temps, mais pourquoi pas personnel à terme), et de la formation (et notamment les grandes écoles). Les caméras robotisées sont transportables, sans fil, simples d'utilisation, flexibles (elles acceptent tout type de sources vidéos), et se configurent à partir d'un simple smartphone. Autant de facteurs différenciants qui devraient faire le succès de Rocamroll en allégeant considérablement le budget et la charge de travail de ses clients !
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