Le 3 février, une quinzaine d'entrepreneurs étaient présents au Tarmac pour rencontrer l'accélérateur Pentalabbs et échanger avec Eric Gouin sur le modèle original de "services for Equity".
Le principe est simple : les start-up numériques en général, et les start-up du web en particulier, ont 3 besoins techniques essentiels au démarrage :
Le principe est simple : les start-up numériques en général, et les start-up du web en particulier, ont 3 besoins techniques essentiels au démarrage :
- le développement technologique de leur infrastructure IT, moteur de leur activité,
- le webmarketing pour booster leur traction marché,
- et la logistique pour les sites de e-commerce.
En contrepartie, la start-up s'engage à verser un montant équivalent en prestations de service dans les 3 domaines pré-cités, en s'appuyant sur
- les 700 ingénieurs nearshore et offshore de la SSI Pentalog pour la partie IT for Equity, sachant que Pentalog assure depuis 13 ans le développement informatique de nombreuses entreprises, essentiellement web (dont Meetic ou ruedelapaye), avec de beaux succès à la clé (panier moyen x10, croissance + 30%)
- et les compétences de partenaires de renoms pour les services webmarketing (B to B et b to C) et logistique e-commerce.
- un effet de levier possible grâce au capital apporté (auprès de BPI, des banques ou d'autres investisseurs)
- un coût de prestation IT 2 à 3 fois moins cher grâce au modèle nearshore / offshore (200e la journée)
- une formule gagnant / gagnant où le prestataire qui est également investisseur, a autant d'intérêt que le créateur que les solutions déployées marchent vite et bien
- un appui technique sur des structures matures qui ont fait la preuve de leur efficacité avec des retours clients avérés
- une approche cohérente et systémique du triptyque stratégie de contenu- SEO / webmarketing / infrastructures.
- un agrément CIR qui peut faire bénéficier aux start-up de réductions fiscales
- une PI qui appartient à 100% à la start-up
- un délai de 3 à 6 mois entre la réception du dossier et la signature de l'accord final
- un taux de financement intéressant : en 2014, 30 dossiers reçus, 5 financés.
- qualité de l'équipe managériale
- rupture économique (plus que technologique)
- fort potentiel de croissance
- stratégie de traction.
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